Michel Potay, témoin vivant de La Révélation d’Arès
L’Appel du Créateur relancé d’Arès a pour Dessein de libérer l’homme du mal qu’il s’inflige lui-même.
Le Dessein du Créateur est que l’homme recrée un monde où il vivra heureux. Ce n’est ni la religion, ni la politique, ni la science qui apporteront ce bonheur. Au contraire, la religion, la politique et la science imposent la soumission de l’homme à ses règles ou dogmes et n’ont jamais fait disparaître le mal. L’Appel du Créateur relancé d’Arès est très simple. L’homme n’a pas besoin d’idéologie directrice, de dogmes, de lois, de chef. L’homme ne doit suivre qu’une seule voie, celle de la bonté ou pénitence et la vraie piété (36/19) qui n’est qu’un rappel de ce qu’il doit accomplir pour retrouver cette bonté au fond de lui.
Nous sommes face à un choix : nous pouvons recréer nos images et ressemblances avec notre Créateur et devenir bon pour notre bonheur et celui du monde, ou bien continuer de servir et de nous soumettre à nos maîtres politiques, religieux, financiers, etc.
Des forces extraordinaires sont présentent en nous. Nous pouvons choisir d’être des hommes libres et aimants qui se préoccupent de tout humain, nos semblables et frères, en n’aspirant à aucun pouvoir sur eux. Ces hommes libres choisiront les seules armes qui gagneront la guerre métaphysique contre le Mal : l’amour, le pardon, la paix, l’intelligence du cœur.
Ce monde nous impose une humanité contrôlée par les pouvoirs d’hommes soit ambitieux et pugnaces, soit riches de connaissances soigneusement sélectionnées pour être celles de l’élite dirigeante. La religion, la politique, l’industrie, l’armée, la loi, etc., sont régies par des élites ambitieuses, savantes en leurs domaines, des chefs (Rév d’Arès 16/1). Domination et spoliation ne résultent que de la folie de fabriquer, institué et imposer.
Ces chefs, savants et ambitieux, ferment hermétiquement devant tout homme de bonne volonté les portes de ce qui peut l’aider à le changer. Depuis des millénaires, ce monde se prive des humains, connus ou inconnus, qui auraient pu être leur providence et leur salut.
Malheureusement, les pires malheurs (guerres, famines, maladie, etc.) n’ont pas éveillé la vigilance de l’humanité. Celle-ci aurait pu prendre conscience d’elle-même qu’elle doit combattre le Mal et développer le Bien. Au contraire, le révolté ou révolutionnaire d’aujourd’hui ou de jadis, qui aurait pu transformer cette révolte en devenant pénitent (bon dans son cœur), aspire à un autre pouvoir et à d’autres lois aussi mauvaises et dangereuses que celles qu’il a pourchassées. Il reproduit ainsi et inlassablement la culture du système.
La masse dans sa majorité pense, à tort, qu’elle n’a de sécurité qu’avec ses chefs et ses lois. « La société, dit-elle, ne peut pas vivre sans drapeau, sans croix, sans croissant, sans gouvernement, sans armée, sans tribunaux, sans police ! Tout le monde sait que la guerre est un inévitable incident sur la voie sacrée du bonheur social ! » À cela le Créateur répond : « Non. Toi, l’homme, je t’ai créé pour vivre libre et heureux avec moi dans un monde de bonheur perpétuel. Alors, ne sois pas comme tout le monde. Ta peur du monde, ton désir de te protéger, de lui plaire et de parler comme lui décuple les risques de te désintégrer spirituellement. Si tu la suis, tu vas créer une humanité sans amour et ce sera à terme le péché des péchés. Le mal partout. Je ne pourrai plus rien faire pour toi. »
Le mouvement des gilets jaunes en France montre qu’il y a une prise de conscience de cette situation funeste dans l’esprit des Français. Oui, nous arrivons à un moment où le peuple se rend compte que l’accumulation des lois, les impôts, les subventions, les décisions sociopolitiques, la lutte contre le réchauffement climatique, etc., ne font pas le bonheur.
Ce monde qui n’était déjà plus logique devient de plus en plus illogique. L’idée même de progrès social disparaît. Les oubliés veulent retrouver leur place comme citoyens seulement représentés par leurs élus, mais non dominés par leurs élus, bref, leur place d’hommes.
Les Français découvrent que le bonheur auquel ils aspirent est ailleurs. Et si c’était le commencement des retrouvailles avec la Vie ?