Le dimanche 2 octobre 1977, le surnaturel revient dans la vie de Michel Potay (Frère Michel) : après la visite de Jésus en 1974, c’est une intervention directe de Dieu que l’on appelle théophanie. Il y aura cinq visites au total d’octobre à novembre 1977.
Un message magnifique accompagné à chaque visite d’une impressionnante conflagration surnaturelle. Le témoin l’appellera Le Livre car le Créateur lui dit : « Tu ouvres le bon Livre enfin. » (La Révélation d’Arès, i/11).
Le Créateur utilise un langage concis et bref, élémentaire, parce qu’il répugne à employer le parler humain riche et subtil, propre aux tromperies les plus sophistiquées et à tous les mensonges : la langue humaine s’est perfectionnée jusqu’à devenir le plus habile véhicule de ce mensonge, le plus terrible outil de la dispute et du procès. Comment Dieu, proclamant la Vérité, l’Amour et la Justice, en userait-il ?
Ce message s’adresse à tous les hommes. C’est une révélation fondamentale qui invite l’humanité entière à dépasser toutes les religions et à se regrouper en un mouvement spirituel et universel dont le lien commun serait le développement de la vertu en chacun: la pénitence. Cette transformation personnelle consiste à aimer tous les hommes, pardonner toutes les offenses, faire la paix avec tous ses semblables, acquérir l’intelligence du cœur libre de tous préjugés pour faire de ce monde une terre de Bien. Ce n’est pas ce que l’homme croit, mais le bien qu’il fait qui le sauve. En vous efforçant d’agir en toutes circonstances avec bonté et bienveillance, vous ferez plus que toutes les religions font, que toutes les politiques font, que toutes les morales font, pour changer ce monde en Bien !
À l’occasion du quarantième anniversaire du Retour du Créateur, des Pèlerins d’Arès de plusieurs villes françaises (Lorient, St-Brieuc, Lille, Paris, Bordeaux, Tours, Lyon, Nice, Marseille, Perpignan, Toulouse, Limoges), belge (Belgique) et suisses (Genève, Neuchâtel) ont projeté le même jour, le samedi 18 novembre 2017, une vidéo extraite d’une conférence de Michel Potay.